40th Anniversary of GSA

40th Anniversary of GSA

The George Sand Association celebrates its 40th anniversary at Hofstra University on Friday, 23 September 2016.

LOCATION: Hofstra University, September 23, 2016

CONTACT: David Powell

The George Sand Association celebrates its 40th anniversary at Hofstra University on Friday, 23 September 2016. This one–day commemoration will feature a variety of papers and reminiscences of how far the society has come and where it hopes to go.  See the program hereSee the program here .

For all hotel reservations with the Hofstra discount, please direct your requests to Athelene Collins (athelene.a.collins@hofstra.edu).

GSA Sessions at MLA Austin 2016

GSA Sessions at MLA Austin 2016

January 7, 2016 –January 9, 2016

Our MLA sessions in Austin:

Reading Sand’s Pasts and Sand’s Futures, January 7, 5:15

Roundtable: “Pedagogical Publics: Teaching George Sand”, January 9, 3:30pm

Alexandra Wettlaufer has graciously invited GSA members and WIF members to attend a party at her house for MLA friends and UT Comp Lit alumni on Friday January 8. 

Could you let Alex and myself know if you would like to join us? The joint meeting of the GSA and WIF members is planned  around 4:50 after the  January 9 roundtable in the Marriott.

George Sand et ses consoeurs : la femme artiste et intellectuelle au XIXe siècle 20e Colloque International George Sand Vérone (Italie), 29 juin-1er juillet 2015

George Sand et ses consoeurs : la femme artiste et intellectuelle au XIXe siècle 20e Colloque International George Sand Vérone (Italie), 29 juin-1er juillet 2015

June 29, 2015

Organisation: Laura Colombo, Università degli Studi di Verona, Dipartimento di Lingue e Letterature Straniere, avec le soutien de la George Sand Association, USA. Comité scientifique: Laura Colombo (Université de Vérone); Béatrice Didier (École Normale Supérieure, Paris) ; Catherine Masson (Wellesley College, MA), Annarosa Poli (CRIER, Université de Vérone) ; Pratima Prasad (University of Massachusetts Boston) ; Damien Zanone (Université Catholique de Louvain). 

APPEL À COMMUNICATIONS

Ah ! ma foi vive la vie d’artiste ! Notre devise est liberté. (Lettre de George Sand à Jules Boucoiran, 4 mars 1831) Ne m’appelez donc jamais femme auteur […]. Ne m’affublez pas de ridicules que je fuis, que j’évite et que je ne crois pas mériter. (Lettre de Sand à Charles Meure, 27 janvier 1832) Vous avez envie d’écrire, pardieu, écrivez. Ecrivez sur le sort des femmes et sur leurs droits. Ecrivez hardiment et modestement, comme vous sauriez le faire, vous. (Lettres de Sand à Marie d’Agoult, fin septembre 1835 et 26 [ ?] février 1836)

Représentatives de maintes déclarations sandiennes, ces citations résument les apories qui frappent, au XIXe siècle, la femme qui écrit. Faute de nom pour la désigner, d’ailleurs, l’époque recourt à des périphrases ou à des mots composés (femme auteur, femmes de lettres, femme poète) qui tous comportent, comme sous-entendu inquiétant, le doute sur sa capacité d’être femme ou auteur à part entière. De là aussi les termes péjoratifs qui virent au masculin, comme ce “bas-bleu” sur lequel des colloques récents se sont penchés, pour mieux le contester. Car s’il n’y a pas de nom, c’est aussi qu’il n’y a pas de place, dans la société et dans l’institution littéraire, pour une telle figure, qui toutefois se multiplie de manière exponentielle au XIXe siècle. Or après le Bicentenaire en 2004, après l’édition en cours des OEuvres complètes de Sand et celle de ses oeuvres critiques et journalistiques, le Dictionnaire Sand et le Dictionnaire universel des créatrices, après les nombreux colloques, séminaires et travaux sur les femmes écrivains visant à les réintégrer dans l’histoire littéraire, le temps est peut-être venu de dresser un bilan sur les différentes visions de la femme artiste et intellectuelle au XIXe siècle, dont on tiendra George Sand pour le foyer central. Ce qui signifierait prendre en compte, également, les écrivaines contemporaines de Sand, et le réseau, encore sous-estimé et susceptible de nouvelles découvertes ou enrichissements critiques, des ascendances, filiations et surtout des relations entre elles. Entre solidarités et dénégations, Sand a eu des rapports, de près ou de loin, avec presque toutes ses consoeurs. Les archives, ainsi que l’histoire des littératures, pourraient encore être parcourues à la recherche d’échanges, conseils, jugements relevant d’une réflexion proprement esthétique, ce qui nous intéresse premièrement ici, même du point de vue du rayonnement de l’oeuvre sandienne, jusqu’à la fin du siècle, au niveau international. On pourra alors s’interroger sur les discours et les représentations dont Sand et d’autres écrivaines ont fait l’objet au XIXe siècle, à l’intérieur du champ littéraire ou dans la presse, en France ou à l’étranger, ainsi que sur leurs propres propos concernant leur statut et les problématiques de la création au féminin, en tant que pratique mais aussi en tant que réflexion, ayant une retombée idéologique, sociale, politique et sur l’évolution des mentalités. Comment ces femmes se pensent en tant qu’auteures, artistes et intellectuelles ? Comment se positionnent-elles, et à quel degré de conscience, par rapport aux paramètres esthétiques ambiants ? Ou par rapport à la production de nouveaux modèles de discours, d’écriture ou d’encodages axiologiques? Tout a-t-il été dit sur les relations intertextuelles, sur les influences féminines subies par George Sand et sur le rôle archétypal que lui font revêtir les femmes auteurs ? En quoi leur “féminité”, souvent cachée sous pseudonyme, influence-t-elle la réception de leurs oeuvres par d’autres écrivain(e)s ou par la critique officielle ou journalistique ? Emploie-t-on un langage différent pour parler des oeuvres des femmes ? On pourra également étudier les personnages de femme artiste, intellectuelle ou particulièrement cultivée présents, dans un jeu de miroirs entre créatrice et créature, dans l’oeuvre de Sand ou d’autres écrivaines, en les confrontant, le cas échéant, avec des portraits analogues dans des oeuvres masculines. Ce qui reviendra aussi à se demander dans quelle mesure ces questions parcourent, tout au long du siècle, maints poèmes (parfois “autobiographiques”, ou consacrés par une écrivaine à une autre), pièces de théâtre, essais et surtout les romans de l’artiste femme (tels que Corinne, Consuelo, Elle et lui ou Albine Fiori, L’Atelier d’un peintre ou Domenica de Desbordes-Valmore, La Canne de Monsieur de Balzac de Delphine de Girardin, Lui de Louise Colet ou Les Désirs de Marinette d’André Léo, ou bien d’autres encore à analyser). A l’intérieur de ce colloque, plusieurs axes seront alors possibles:

  • Se construire et se penser en tant qu’écrivaine
  • Femme-auteur et engagement
  • Auteure et intellectuelle
  • Discours préfaciels et péritextuels
  • Auctorialité
  • Création de nouveaux modèles scripturaux ou génériques (poésie, théâtre, roman, histoire, essai, autobiographie)
  • Poétiques sandiennes
  • Romans de l’artiste femme (Künstlerinromane)
  • Actrices, musiciennes, danseuses, femmes peintres ou sculpteurs comme avatars symboliques de l’écrivaine
  • Identité artistique
  • Mise en fiction des actes de lecture ou d’écriture
  • Enjeux esthétiques
  • Genre et/ou sa négation
  • Obstacles
  • Liberté de l’artiste et condition féminine
  • Problématiques de la publication ou de la représentation théâtrale
  • Enjeux économiques
  • Lectorat masculin, féminin, féministe ou commun
  • Destinations et réceptions Influence de Sand sur les femmes auteurs d’autres pays
  • Adaptations et traductions comme métadiscours critique sur l’oeuvre sandienne
  • Enjeux idéologiques des adaptations d’oeuvres sandiennes pour la jeunesse
  • Un point d’orgue et un premier bilan : le centenaire de 1904

Ce ne sont que des exemples de pistes de recherche qui, loin de restreindre l’écriture des femmes à une autoréférentialité marginalisante, viseront, à travers George Sand, à revenir sur les enjeux, notamment esthétiques, de la création féminine au XIXe siècle, et sur sa place dans le champ littéraire commun.

Les propositions de communication pourront concerner, tant au niveau français que, de façon très souhaitable, européen et extra-européen, des exemples emblématiques de ces questionnements, en privilégiant les aspects, noms ou figures les moins traités jusque-là, les témoignages rares ou inédits, ou les apports les plus récents et originaux de la critique. Elles seront à adresser à laura.colombo@univr.it et à cmasson@wellesley.edu avant le 20 septembre 2014. Les réponses du comité scientifique seront envoyées avant le 20 octobre 2014.

Infos pratiques : Le voyage et l’hébergement seront à la charge des participants (une liste d’hôtels conventionnés sera fournie). Pour tout renseignement : laura.colombo@univr.it.

GSA Sessions 2009 MLA Panels and GSA Annual Business Meeting, MLA Convention, Vancouver, January 8-11, 2015

GSA Sessions 2009 MLA Panels and GSA Annual Business Meeting, MLA Convention, Vancouver, January 8-11, 2015

January 8, 2015 –January 11, 2015

The George Sand Association will hold two sessions at the Annual Convention of the Modern Language Association in Vancouver (January 8-11, 2015).

Guaranteed GSA session: “George Sand and Childhood” Program arranged by the George Sand Association Friday, 9 January, 3:30–4:45 p.m., East 13, VCC East Presiding: Anne Marcoline, Univ. of Houston, Clear Lake Abstracts

  1. « Le motif de l’orphelin ou la fabrique d’un homo novus  sandien ? »Gheorghe Derbac, Université Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand II             Les figures d’orphelin pullulent dans les romans sandiens, qu’ils s’agissent des personnages abandonnés à leur naissance, ou des héros qui se retrouvent dans une situation d’orphelin à cause des vicissitudes historiques comme la Révolution. Plusieurs explications peuvent être données pour la présence du motif de l’enfant orphelin dans l’œuvre sandienne : l’expérience personnelle de l’auteur, orpheline de père et élevée par la grand-mère paternelle loin de sa mère ; récurrence du motif de l’enfant bâtard dans la littérature du XIXe siècle ; réalité de l’époque avec les Hôpitaux des enfants trouvés. Ainsi, nous nous poserons la question du comment ces personnages deviennent des vecteurs de transmission de valeurs chères à George Sand, tels que le travail ou l’éducation. Notre attention sera concentrée sur la thématique de l’éducation dans les romans François le Champi (1848) et Nanon (1872). Nous observerons la manière par laquelle les personnages sont découpés du cadre socio-historique par Sand et éloignés dans un premier temps de tout prédéterminisme social (membre d’une classe sociale privilégiée ou pas) pour accéder ensuite à la reconnaissance de leur rôle dans la société. De cette façon, George Sand vient appuyer son idée ou rêve de société égalitaire en effleurant ainsi une réalité historique présente dans l’antiquité où les homines novi représentaient les citoyens romains qui réussissaient à occuper des charges publiques sans être issus forcément du patriciat. Nous verrons de cette manière que George Sand essaie de dépasser la figure « victime » de l’orphelin car son héros bâtard réussit dans la société grâce à son travail et à ses qualités morales.
  2. “Childhood Poetics in Sand’s Consuelo: Boehmerwald and the Return of Play, Innocence and Idealism” Karen Turman, Missouri Southern State Univ. InSand’s kunstlerroman, Consuelo’s evolution as an artist exemplifies the insistence on the “artist’s life” as integral to her identity as a musician. A fresh concept in the early nineteenth century, the artist’s identity depended as much or more on moral and political beliefs, appearance, social circles, and daily habits than the art product itself. Consuelo’s self-conscious artistic development during her journey through Boehmerwald with Joseph Haydn stands as a microcosm of the education she receives throughout the novel. This coming-of-age phase in Consuelo’s geographic trajectory highlights her satisfaction with vagabondage and her epiphany of nomadism as intrinsically associated with the artist’s life. Consuelo demonstrates a preference for this literal nomadism and thus asserts her identity as feminine bohemian artist figure in the conscious choosing of travel as a means to define herself as an artist-musician. This two-week nomadic jaunt through the forest represents a transitional and formative stage as Consuelo plays in a nostalgic fantasy while reconnecting with her itinerant Gypsy upbringing and negotiating her identity as a musician.  The youthful rejection of stability which propels her to leave Riesenberg, her platonic relationship with the young Joseph Haydn whom she meets en route, and the playful strategies they employ in order to survive–dress-up, role-play, theatrics and well-meaning trickery–contribute to the ways in which Sand constructs a poetics of childhood around Consuelo’s education. In this brief narrative and metaphoric transition, Sand crafts a whimsical tale of adventure, fantasy and delight in order to eclipse the harsh realities of protesting against conformity, and in turn magnifies the idealism behind Consuelo’s pursuit of a bohemian artist identity. 
  3. « De l’enfant au sujet moral : le rôle de la dyade mentorale dans la Confession d’une jeune  fille de George Sand »    Caroline Caset, National Autonomous Univ. of Mexico Dans les romans d’apprentissage sandiens, très imprégnés de l’Émile de Rousseau, l’enfant est un héros considéré comme un être perfectible, appelé à devenir à l’âge adulte un acteur principal de la transformation idéale du monde. Pour l’aider à prendre conscience de ce rôle futur et à se préparer à cet effet, il bénéficie de la complicité et de la sagesse d’adultes de son entourage immédiat. Son principal éducateur est son précepteur ou son mentor, aidé par une grand-mère ou un grand-père protecteur et libéral, ainsi que par divers personnages peu conformistes. Dans la Confession d’une jeune fille en particulier, le rôle du précepteur  Frumence, qui devient peu à peu un véritable mentor, est de guider Lucienne dès l’âge de sept ans dans le processus de construction de son identité. Il lui permet de former en elle l’être nouveau en cultivant  sa raison, son imagination et sa sensibilité. Dans le cas de Lucienne, la question de l’identité est tout particulièrement centrale car l’héroïne a été enlevée à l’âge de dix mois. Elle revient au sein de sa famille à quatre ans, mais a oublié son court passé. Cela l’oblige littéralement à se révéler à elle-même et aux autres. En fait, elle découvre peu à peu que son identité sociale lui a été pour ainsi dire volée, la marginalisant de la société. C’est fondamentalement à travers sa relation avec son précepteur  que  Lucienne, en apprenant que l’idéal de l’égalité sexuelle et sociale est compatible avec la réalité, parvient à se réinventer une identité, donc à devenir un sujet moral. En effet, l’avènement du sujet a pour origine la rencontre de l’autre soi-même, dans l’ouverture à l’altérité. Il sera donc question ici de montrer quel type d’éducation est adopté par ce précepteur et comment fonctionne cette dyade mentorale entre Lucienne et Frumence, sachant que l’objectif éducatif de George Sand est, dans la vie comme dans les romans, de faire naître l’enfant et l’adolescent à lui-même.               
  4. « De Nohant à la Maison des Enfants : Sand, Montessori et l’éducation nouvelle »Véronique Bui, Univ. of Le Havre « Le maître d’école, c’est moi. » écrit Sand au début d’Idées d’un maître d’école. Contrairement à son habitude, dans cette série d’articles,  publiés dans le quotidien Le Temps en 1872, l’écrivaine se pose en théoricienne. Sand, âgée de 68 ans, ne se contente, en effet, pas de présenter la méthode qu’elle a mise au point à partir de la méthode Laffore pour enseigner en un mois la lecture, mais elle expose les conditions nécessaires pour que puisse se faire au mieux cet apprentissage. Or, pour que celui-ci se réalise dans les meilleures conditions, il est impératif de repenser le rôle de l’éducateur. Bien avant l’établissement de la pédagogie dite « nouvelle », Sand se fait le précurseur d’une pédagogie qui met en avant l’environnement de l’enfant, la spécificité de sa nature – une nature qu’elle n’idéalise pas – et l’attitude d’encadrement bienveillant et non jugeant que doivent adopter ceux qui l’instruisent. Autant d’idées qui seront développées par la créatrice de la Maison des Enfants, Maria Montessori (1870-1952). Certes, la richesse d’Idées d’un maître d’école est telle que d’autres pédagogues pourront être convoqués, mais le fil de notre communication sera axé principalement sur Montessori car non seulement, pour elle et pour Sand,  l’éducation du peuple est perçue comme un moyen de créer un monde nouveau, mais surtout elles ont une approche et une vision de l’enfant qui se font écho.Alors que bien souvent Sand est réduite à la seule image de l’idéalisme, cette communication se propose de montrer à quel point dans Idées d’un maître d’école l’écrivaine couche ses réflexions de grand-mère et rassemble nombre de ses intuitions disséminées dans l’ensemble de son œuvre pour établir une pédagogie inscrite sous le signe de l’observation. C’est donc un autre aspect de Sand que cette communication se donne pour objectif de révéler, celui d’une Sand pédagogue, théoricienne, une Sand d’autant plus tournée vers la réalité concrète du monde qu’elle se donne pour tâche d’en faire découvrir les beautés à l’enfant.

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MLA Panels and GSA Annual Business Meeting, MLA Convention, Chicago (January 9-12, 2014)

MLA Panels and GSA Annual Business Meeting, MLA Convention, Chicago (January 9-12, 2014)

January 9, 2014 –January 12, 2014

The George Sand Association will hold two sessions at the Annual Convention of the Modern Language Association in Chicago (January 9-12, 2014).

Guaranteed Nineteenth-Century Division Sessions

  1. “Animals and Animality”: Seeking papers on animal encounters in fiction and related theory, discourse, images, phenomena or events. Possible topics: allegory, anthropomorphism, zoomorphism, animal ethics, animals on display, le regard de l’animal, animals and human thought. Abstracts of 250-350 words by February 22, 2013. Cheryl Krueger (clk6m@virginia.edu)
  2. “Nineteenth-Century French Studies in the Twenty-first Century”: Roundtable discussion on the state of research and teaching in the field. What are the emerging trends/ looming challenges? What forces will shape the field over the next quarter century? Send abstracts for 10-minute presentations to smccread@southalabama.edu by February 22.
  3. Proposed Joint Session Nineteenth-Century Division and George Sand Association “Women and Work”: Literary, cultural, and theoretical approaches to work and workers, material labor, precariousness, propertied and dispossessed characters, and the work of culture, language, and storytelling in the writings of George Sand and other nineteenth-century women writers. Abstracts to Pratima Prasad pratima.prasad@umb.edu and David Bell dfbell@duke.edu by March 15.

-Guaranteed GSA session: “Ecocritical Sand” We welcome papers that consider the role of ecology in George Sand’s work, particularly insofar as it contributes to the ethical dimension of her thinking. Topics could include (but are not limited to): representations of the natural world, artistic creativity and the environment, nature vs. nurture, city vs. country, environmental awareness, activism, topoi of recycling, ecosystems of affect, harmony and idealism, ecology and theories of social justice. One-page abstract to Lauren Fortner Ravalico at <laurenravalico@gmail.com> by March 15.

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